Le temps de remplacement pour activités de recherche pourra représenter entre 20 et 50% du temps de travail, sur des projets sélectionnés par l’institution à partir des propositions des pôles. Il sera mis en oeuvre avec simplicité et souplesse. En 2023, deux à quatre praticiens pourront en bénéficier. À l’horizon 2025, c’est l’équivalent d’une dizaine de praticiens qui pourraient, chaque année, bénéficier de cette décharge d’activité clinique pour se consacrer à des travaux de recherche, leur service recevant alors des moyens pour organiser un remplacement.
Au-delà de l’enveloppe des crédits MERRI, de l’ordre de 72 M€ et dont la part recherche s’élève à 45 M€, le CHU de Lille a fait le choix d’investir en moyenne 6 M€ chaque année sur ses propres dispositifs d’encouragement de la recherche et de l’innovation. Cette politique est conduite depuis des années par la gouvernance collégiale, montrant la constance de ce choix et la volonté de structurer ces activités durablement au bénéfice des patients.